Cette citation d’Hobbes illustre à merveille le but que Stefan Zweig confère à son livre Le monde d’hier : dénoncer la barbarie européenne qui naît au moment de la première guerre mondiale. Dans son œuvre, l’auteur autrichien de religion juive ne se contente pas d’écrire son testament et de léguer le souvenir d’une Europe épanouie, mais il « raconte le destin d’une génération entière ». Jérôme Kircher et Patrick Pineau sont les premiers à adapter cette œuvre au théâtre.

La danse contemporaine est à l’honneur dès ce soir pour trois jours à Bonlieu. L’occasion d’admirer sur scène des pointures de la danse et de les retrouver, plus accessibles, lors d’ateliers ouverts au public.

En panne d’idées pour occuper le dernier week-end des vacances de la Toussaint ? Ne cherchez pas plus loin, et partez à la découverte du dernier-né des festivals annéciens : le F-DAM, comprenez « Festival de danse et d’art en mouvement ». Fruit d’un partenariat entre la MJC Novel et la compagnie de danse Beaver Dam, il propose trois jours de spectacles, de stages et de masterclasses. Tous les publics y sont conviés, enfants ou adultes, simples curieux, connaisseurs passionnés ou jeunes danseurs en formation.

Le festival multidisciplinaire Antigel, qui n’a pas son pareil pour réchauffer l’agenda culturel engourdi par les frimas de l’hiver, proposait le 7 février au Lignon (Genève) un spectacle classé dans l’intrigante catégorie « danse contemporaine / orgasmique ». Il n’en fallait pas plus pour titiller ma curiosité…

Qui se cache derrière l’artiste Piaf ? Quelle femme, quelle sensibilité ? Pour comprendre l’artiste, il faut comprendre la femme. A travers différentes lettres intimes, Piaf se livre, et on peut ainsi mieux la découvrir et la comprendre grâce à un duo étonnant mettant en scène ses mots : Clotilde Courau la comédienne, Lionel Suarez le musicien. Beau, sensible, touchant spectacle plein d’âme qu’on a pu voir samedi 26 novembre à l’Espace culturel Jean Blanc à la Ravoire.

Jeudi 9 juin, par une soirée presque estivale, cap sur Rolle, entre Genève et Lausanne, où le charmant petit théâtre du Casino accueille des représentations des Belles-Sœurs. Cette pièce d’Eric Assous est montée par le Groupe amateur rollois (GAR).