Tout comme l’année dernière, le pianiste aux allures d’ogre prêt à dévorer son piano a dû se résoudre à ne pas jouer en plein air, pour cause de mauvais temps. Rendez-vous l’année prochaine ?
Intuitif, retors à tout académisme, Malcolm Braff a improvisé une musique magnifique échappant à toute catégorisation entre Jazz, Classique et toutes sortes d’influences rythmiques.
Quelque chose d’inouï (au sens propre) qui m’a fait penser aux fulgurances de Keith Jarrett.
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