Rictus.info

Lire c’est vivre disait un rabbin (pas de ma connaissance, il doit être mort depuis bien trop longtemps, à moins que ce ne soit Marc Alain Ouaknine) tandis que Keith Richards affirmait n’avoir aucun livre traitant de musique, car la musique se joue, elle ne se lit pas ... Et pourtant !

Bumblefoot est de retour ! Ron Thal (alias Bumblefoot) est un des guitaristes les plus virtuoses de la planète, tout en étant à la fois novateur, avant-gardiste, expérimental, mais aussi accessible et mélodique... Ce qui en fait un musicien rare qui sort de l’ordinaire.
Armé de son dé à coudre et de sa guitare à double manche (dont un est sans frettes), Bumblefoot propose d’écouter « Simon In Space » comme premier extrait de son album à venir Bumblefoot ...Returns ! qui est prévu pour janvier 2025 avec pas mal de surprises et d’invités de renom.

Le samedi 2 novembre s’est tenu dans la salle de création de l’auditorium de Seynod un concert comme on n’en fait plus. Au menu : quatre trios pour le prix d’un avec The Third Project, Mornifle, Baratro et Doppler, de la bière cheap et beaucoup de copains.

La traditionnelle soirée de présentation de l’affiche et des premiers noms de la prochaine édition du festival Jazz à Vienne s’est tenue ce 26 novembre, avec à la clef un moment privilégié : le poétique concert dessiné par Alexandre Clérisse (auteur de l’identité visuelle 2024) sur la musique délicate et toute en émotion du duo Piers Faccini et Ballaké Sissoko.

Une exposition avec des planches originales de comics légendaires comme Batman et Daredevil s’est déroulée à la Galerie 41 à Lyon, du 22 au 24 novembre. L’artiste mis à l’honneur est Klaus Janson, auteur, dessinateur et encreur ayant notamment collaboré avec Frank Miller et d’autres grands noms du monde des comics américains. Les éditions Black & White ont organisé ce superbe évènement à Lyon, ville phare pour l’histoire des comics en France. On en parle plus en détail avec pas mal d’infos dans l’article !

Le collectif Chinese Man fête ses 20 ans et présente l’avant-dernier show de sa tournée, avec une énergie qui n’a pas pris une ride. Inspirés par le mouvement hip-hop mais inclassables, le trio expérimenté a présenté, en ce soir de novembre, une prestation musicale et scénographique irréprochable.

La première chose qui me vient à l’esprit quand j’écoute Amyl and the Sniffers, c’est d’imaginer dans quel état s’est retrouvé le public de quadras (et plus) présent « Bud » à la main lorsqu’ils ont ouvert pour la durée US de Smashing Pumpkins et Jane’s Addiction…

L’objet nouveau à l’art-work prémonitoire et tout dédié à la — juste cause— , était attendu de pied ferme.
Quatre ans de gestation musicale, de travail acharné, se sont écoulés depuis leur précédent album et les désormais quatres pyromanes Chaux-de-Fonnier signent et livrent aujourd’hui un 11 titres incandescent.
Et Coilguns n’a rien perdu de sa superbe. Au contraire !