Ne faut-il pas avoir une certaine dose d’audace ou de folie pour présenter l’adaptation de Carmen version flamenco tandis que l’Opéra de Lyon lui-même propose une version plus conventionnelle ?
TEXASJIM de Pierre Gripari est une fiction burlesque s‘inspirant de Lucky Luke à Dalton-city. On y retrouve un cowboy solitaire confronté à tous les personnages habituels du Far West : les bandits, les indiens, le pasteur, le croque-mort...
Difficile aujourd’hui de connaître le poète Jean-Pierre Verheggen. S’il est bardé d’honneurs, ce ne sont pas ceux du grand public.
Mais parions que c’est une chose qui va changer.
Les danseurs ont sans doute une opinion très tranchée sur ce genre de prestation grand public. Mais sans être ni danseur, ni spécialiste de la danse, on ne peut rester insensible à une chorégraphie qui inonde de poésie la gymnastique de l’amour.