Magazine culturel contributif en bassin franco-valdo-genevois

Articles récents

  • Émotions animées

    Cinéma

    Une séance de courts qui remets l’humain au centre, avec de l’empathie pour les personnages.

  • Avril et le monde truqué

    Cinéma

    Une grosse production plutôt attendue, qui permet de se plonger avec délectation dans une uchronie rétrofuturiste, habillée dans le style graphique si reconnaissable de l’auteur d’Adèle Blanc-sec.

  • Court et noir

    Cinéma

    Il y a toujours des séances à ambiance plus ou moins sombre dans les courts, mais hier, avec ce programme, nous avons eu une bonne séance noire.
    Et pour cause, puisque la majorité des courts étaient en monochrome... De quoi accentuer la lourdeur des sujets abordés.

  • La Loi du plus fort

    Cinéma

    Présenté au dernier festival de Cannes, il y a été ovationné et a valu à son interprète – Vincent Lindon – un prix d’interprétation des plus mérités. La Loi du marché, actuellement en salles, aborde de front la réalité sociale, dans toute sa dureté et sa complexité. À l’opposé d’une impasse stérile sur le plan artistique, cette volonté de coller au plus près du réel permet l’émergence d’un film émotionnellement fort, exigeant, personnel, et surtout pleinement ancré dans son contexte contemporain, à l’heure où les inquiétudes quant au chômage augmentent et où les espoirs d’inversion de la fameuse « courbe » diminuent...

  • Parque Lenin

    Cinéma

    Parmi les nombreux films qui circulent dans le fameux festival de Nyon ; Visions du réel, Parque Lenin et l’un des films qui restera après cette semaine riche et intense.

  • Cure de docus à Nyon

    Cinéma

    Ici, pas de stars, pas de paillettes, et encore moins de montée des marches… On vient du monde entier à Nyon, à 1 heure seulement d’Annecy, pour voir du cinéma documentaire sous toutes ses fomes : longs, moyens, courts, webdocs... On vient aussi acheter, vendre, débattre, écouter… C’est ce que j’ai fait ce mardi 21 avril. Ecouter (et accessoirement voir), durant deux heures, Barbet Schroeder parler de cinéma. Et l’expérience fut à la hauteur de mes espérances.