Bésame Mucho

C’est à une grande romance que le spectateur est convié, dans un Cuba des années 50 idéalisé, bercé douillettement par un jazz langoureux. Comme il convient aux films de ce genre, l’amour s’avère impossible et les regrets persistants.

L’ambiance visuelle semble particulièrement en harmonie avec cette douce nostalgie ; Cela pourra faire penser aux illustrations de Loustal. D’ailleurs Javier Mariscal vient lui aussi de la Bédé et il est une référence espagnole de l’illustration (entre autre) et réussit parfaitement à créer une empathie chaleureuse dans cette animation cellulo pleine de charme.

PS : Ce film à reçu le Prix FNAC.