Les danseurs ont sans doute une opinion très tranchée sur ce genre de prestation grand public. Mais sans être ni danseur, ni spécialiste de la danse, on ne peut rester insensible à une chorégraphie qui inonde de poésie la gymnastique de l’amour.
Dans sa profession de foi artistique, Jean-Claude Allard qui est à l’origine du projet « Abstract X », dit vouloir « sublimer l’éphémère » par des étonnements sonores et visuels.