Jean-Pierre Gandebeuf est un récidiviste du bout de récit plus ou moins non rimé. Impossible de compter ses attentats à la pudeur poétique. Cette fois, armé de son stylo automatique à répétition, il s’attaque aux oiseaux dans un opuscule crépusculaire qui paraît aux environs du solstice d’hivers : période des cadeaux.