Thierry Raspail, directeur de la 12^e biennale de Lyon le dit : il lie trois fois de suite les manifestations à un mot. C’est « transmission » pour la troisième fois. Bla-bla- et bla. Les artistes doivent prendre la parole , en récits , en images, en art...et le public peut alors inventer la suite.
encore bla-bla et bla.

D’abord, je ne suis pas un spécialiste, je suis un amateur d’art “con“ (pour contemporain ; j’aime bien abréger humoristiquement ainsi ma pensée sur cette question), avec un regard spécifique que j’assume ; c’est tout. Aujourd’hui, j’ai envie de partager avec vous les réflexions que m’inspirent deux séries photographiques bien connues…

Un langage universel ponctué de néons et de paillettes ...
Caroline Baup s’empare du pouvoir des yeux pour parler, et de celui des des oreilles pour voir !

Je fais porter à la connaissance de notre vaste public une œuvre en cours de réalisation. De l’art contemporain pur et dur. Œuvre à laquelle il ne tient qu’à vous de participer…en tant que critique.

Claudine et Jean-Marc Salomon ont décidé de faire le break. Le cycle extraordinaire des grandes expos à la Fondation a donc pris fin. Évidemment, tout le monde (de l’art contemporain) se demande quelle va être la suite. De vagues rumeurs concernant des projets en direction de la jeune création contemporaine ? En tous cas, Les Salomon ne restent pas inactifs.

Lettres pimentées.

Prenez une russe, versez une dose généreuse de nectar littéraire, ajoutez quelques pincées de poudre de piment, laissez mijoter jusqu’à l’obtention d’un sirop.
Pendant ce temps mondez les vocables culinaires et citronnez les incongruités.
Lorsque le sirop carmin a refroidi, nappez copieusement les vocables.
Dressez vos assiettes avec ce dessert rougeoyant accompagné d’incongruités acidulées.

Bonne dégustation.