Si je vous dis François Truffaut, d’aucuns me parleront immédiatement de la Nouvelle vague, des Cahiers du cinéma, d’Antoine Doinel, voire de ses célèbres conversations avec le maître du suspens Alfred Hitchcock. Les premiers films qui vous viendront à l’esprit seront tout naturellement « Les Quatre Cents Coups », « Jules et Jim », « La Nuit américaine », « L’Enfant sauvage », ou « Fahrenheit 451 » pour ceux qui se souviennent que François Truffaut, c’est aussi de la science-fiction. Mais qui évoquera « La Mariée était en noir », film central dans sa filmographie, au cœur de ses thèmes de prédilection et pourtant si injustement oublié ?