Magazine culturel contributif en bassin franco-valdo-genevois

  • Les rivages d’Aksarven

    En juillet 2024, le trio Aksarven larguait les amarres et ouvrait grand ses voiles avec Drifiting from nowhere, premier album traversé par le souffle de la rencontre et de l’exploration.

  • La baraque à clips

    Une vidéo invitée, une fenêtre ouverte sur le monde d’un ou d’une artiste, groupe, collectif ou association.

    En ce moment : Midlife, nouvelle sortie sur Bigoût records à la croisée d’influences hip-hop et de Tropical fuck storm et où l’on retrouve des anciens Alabaster. Le groupe sera en concert au Trokson le 4 novembre avec Nevraska.

  • Samouraïs de la noise

    Musique

    C’est dans un lieu improbable que s’est déroulé ce concert de trois solos de musique électronique exploratrice et du trio Toru, samouraïs sidérants d’un noise-rock nouvelle école.

  • Les modules d’Anton Ponomarev / J1 : duo avec Nicolas Field

    Musique

    Pour l’ouverture des trois journées qui lui étaient consacrées à Urgence disk, le saxophoniste Anton Ponomarev invitait le batteur anglo-suisse Nicolas Field. Le duo a fait une démonstration saisissante de « composition instantanée » radicale et revendicatrice.

  • Slocum, le Vieil Homme et le Père

    Cinéma

    Publié en 1857, L’Homme et la Mer de Charles Baudelaire débutait ainsi : « Homme libre, toujours tu chériras la mer… ». Si l’œuvre de Jean-François Laguionie devait être résumée en un mot, « évasion » serait celui qui s’y prête le mieux. Après s’être vu décerner, en 2019, le Cristal d’honneur du Festival d’Annecy pour l’ensemble de son œuvre, à l’occasion de la sortie du Voyage du Prince, Jean-François Laguionie y est revenu s’offrir un bain de foule en 2024 pour présenter son nouveau film : Slocum et moi (76 min), lequel sera vraisemblablement le dernier. Sortie en salles prévue le 29 Janvier. À 85 ans, le Prince de l’animation française, digne héritier de Paul Grimault, nous y livre une anecdote de son enfance, laquelle se pourrait bien être la clé de son imaginaire…

  • Da Din Din

    Musique

    Les musiques d’Inde peuvent être accessibles tout en gardant leurs richesses musicales.
    « Da Din Din » est une composition qui illustre cela, elle vient du joueur de tabla Amrat Hussain qui est accompagné ici de musiciens de sa famille. Musiciens ayant joué partout dans le monde et ayant côtoyé de grands groupes et artistes dans différents styles, ça vaut le coup de les écouter et de les voir sur scène !

  • L’Orchidée cosmique est sur les ondes !

    Musique

    par Stef Ann

    Les projets solo ont souvent cette même saveur et celui-ci ne déroge pas à la règle. Projet personnel, projet intimiste, projet authentique.

  • Péniche et l’avènement du rock arc-en-ciel

    Musique

    Avec une bonne dose d’humour et de la créativité à revendre, le trio angevin Péniche fait une très jolie démonstration de ce que peut être le rock d’aujourd’hui : la preuve en live avec leur concert du 28 novembre dernier au Poulpe.

  • The dark side of the Poulpe

    Musique

    Une micro-scène locale post-punk et affiliés existe, modeste mais bien vivante, et le Poulpe, l’auberge supersonique de Reignier, lui ouvre régulièrement ses portes. A l’affiche ce soir-là : le post-punk d’inspiration quasi cabaret Scheidensekret et l’électro-punk minimal survolté de Bound by Endogamy.

  • Des notes et des lettres

    Écritures

    Lire c’est vivre disait un rabbin (pas de ma connaissance, il doit être mort depuis bien trop longtemps, à moins que ce ne soit Marc Alain Ouaknine) tandis que Keith Richards affirmait n’avoir aucun livre traitant de musique, car la musique se joue, elle ne se lit pas ... Et pourtant !

  • Voir aussi…