Une vidéo invitée, une fenêtre ouverte sur le monde d’un ou d’une artiste, groupe, collectif ou association.
En ce moment : la chanson jazz de Ta grand-mère et deux flûtes et un solo de tuyau de douche de Jonathan Delachaux en prime !
À peine un mois après Slowdive, Genève accueillait un autre groupe du même style : DIIV ! un groupe de rock indépendant américain originaire de Brooklyn (New York) dont je suis devenu sur le tard un grand fan ces derniers temps. Et franchement, je les attendais depuis un moment, je ne suis pas quelqu’un qui adore le Thrash, Death Metal, mais bordel ces mecs ont une manière incroyable de bouger sur scène et la façon dont les compositions sonnent fort font qu’ils sont juste à un niveau difficile à décrire. Le style musical de DIIV est pourtant un mélange captivant de grunge et de shoegaze qui pourrait me rappeler un groupe du même bled : Parquet Courts. Leurs chansons fusionnent des riffs de guitare hypnotiques avec des voix éthérées, créant un son unique et intemporel. Le groupe a su marier la mélancolie pop avec des torrents de guitares psychédéliques, attirant ainsi de nombreux fans et grimpeurs musicaux expérimentés de haute altitude… Il ne fallait pas rater ce concert !
Une vidéo invitée, une fenêtre ouverte sur le monde d’un ou d’une artiste, groupe, collectif ou association.
En ce moment : la chanson jazz de Ta grand-mère et deux flûtes et un solo de tuyau de douche de Jonathan Delachaux en prime !
Musique
C’est avec un certain plaisir que nous prenons l’habitude d’aller voir les soirées de Radiation, association chambérienne qui défend âprement la musique expérimentale et cela avec brio. Ce vendredi soir, nous avions la chance de (re)voir l’excellent film Sisters with Transistors de Lisa Rovner, hommage aux femmes qui ont bravé le pouvoir masculin pour revendiquer leurs créations sonores. Elles sont nombreuses à avoir réalisé des œuvres géniales dans le domaine des musiques concrètes, électroniques ou électroacoustiques.
Musique
Musique
Vie Culturelle
Nous avions l’opportunité d’interviewer Luciano Chessa à Annecy dans la vieille ville dans les locaux du CARE et nous ne l’avons pas ratée. L’occasion unique d’échanger avec cet immense compositeur, chef d’orchestre, artiste audiovisuel et de performance, historien de la musique futuriste et bruitiste de Luigi Russolo.
Luciano Chessa est l’auteur de Luigi Russolo Futuriste (2012), le premier livre consacré à l’Art des bruits et aux relations de Luigi Russolo entretenait avec les sciences occultes. Il est également l’auteur de Gay Guerilla, les deux ouvrages ayant été salués unanimement par la critique.
En 2009, son Orchestra of Futurist Noise Intoners (OFNI) a été considéré par le New York Times comme l’un des meilleurs événements de l’année. Pour ce projet, il a collaboré avec Joan La Barbara, Mike Patton, Lee Ranaldo, Ellen Fullman, Blixa Bargeld, Pauline Oliveros, entre autres.
Les compositions prolilifiques de Chessa incluent par ailleurs Cromlech, une grande pièce pour orgue qu’il a créée à l’hôtel de ville de Melbourne en mai 2018 dans le cadre d’un récital d’orgue solo, l’opéra Cena oltranzista nel castelletto al lago — une œuvre fusionnant théâtre expérimental et télé-réalité qui a nécessité plus de 55 heures de jeûne de la part des acteurs et A Heavenly Act, un opéra commandé par le Musée d’art moderne de San Francisco, avec une vidéo originale de Kalup Linzy. Dans notre interview, Luciano Chessa exprime également son point de vue très intéressant sur l’AI comme processus de création artistique.
Et finalement, dans la mesure où de nombreux jeunes créateurs et lecteurs de Rictus s’intéressent à la Noise Music, au Bruitisme, à l’Art acousmatique de Denis Dufour ou encore à la musique concrète de Pierre Schaeffer, il devenait nécessaire ici de faire le point avec un spécialiste mondiale sur cette période du Futurisme italien, trop peu connue par ceux qui en utilisent pourtant aveuglement toutes ses recettes aujourd’hui.
Musique
Musique
L’intégralité de la programmation du festival Jazz à Vienne a été dévoilée par son directeur artistique, Guillaume Anger : une édition débordant d’événements variés et réjouissants autour d’une musique qui n’en finit pas de se métamorphoser et de se renouveler, bref, un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte entre le 27 juin et le 12 juillet prochains.
Cinéma
Il y a des faits qui me dépassent, que je n’arrive pas à comprendre… Qu’un jury éventuellement passe à coté d’un film brillant sans le reconnaitre, cela arrive, et plus souvent qu’il n’y parait… Mais que les Palmarès se suivent et se ressemblent sans qu’aucun ne daigne lui accorder la moindre distinction, cela me peine réellement… Alors si mon humble article pouvait attirer l’attention d’un festival encore à venir et réparer cette injustice, j’aimerais ici rendre hommage à mon coup de cœur à Annecy 2023 en juin dernier, qui est enfin sorti en salles en Février, j’ai nommé : « Léo, La fabuleuse histoire de Léonard de Vinci » (92 min.)... Tapis rouge !
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